Encore une rencontre extraordinaire, remplie de vérité et de sensibilité, pour laquelle je suis profondément reconnaissante.
Olivier, Rachel…wow. Rigueur, puissance et passion…
On ne se donne en spectacle ensemble que très rarement, lorsque la signifiance du moment prend toute sa mesure et sa valeur...
Merci à tous cex qui ont partagé ce moment de vie avec nous.
Au public qui nous suit depuis toujours, vous faites partie des liens relationnels les plus importants dans mon présent comme dans toute mon histoire.
Merci infiniment 🙏🏽
Men Moun yo !!!
À la superbe équipe du Santa, merci pour l'invitation et pour l'accueil. C'est quand vous voulez !
Muzion ! Les gars, vous savez déjà...
Quelle expérience !
Est-ce qu'ils ont compris ? Que ça ne fait que commencer ???
À toutes suites !!! 🔥
PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE
Beau moment de retrouvailles avec Catherine.
On a débuté nos carrières presque en même temps elle et moi. C'est l'une des personnes qui ont clairement contribué à l'élaboration du phénomène Muzion alors qu'on était dans les premiers jets de ce que nous étions appelés à devenir. Merci Catherine. Cheers aux commencements !
Évidemment, accepter cette invitation était de mise. Surtout quand c'est une invitation à parcourir mon ADN musical. Toujours un plaisir d'honorer le devoir de remonter aux sources.
Écoutez ça sur ICI MUSIQUE
Je signe ce mois-ci un texte qui me tient fortement à coeur dans la magnifique revue Lettres québécoises, très riche en matière d'exploration et de récits de la culture de chez nous, que je découvre agréablement alors que Tristan Malavoy, mandaté pour chapeauter cette édition, m'invite à m'exprimer, carte blanche, sur le sujet de l'engagement dans l'art.
Ouf... J'ai réfléchi longuement à la question ; Être à la hauteur de cette question, c'est déjà un engagement en soit !
Le concept d'engagement social est un objet dont on me parle beaucoup depuis que je partage mes oeuvres. On me demande ce que j'en pense, si je me considère moi-même engagée, si je vis bien avec l'idée qu'on me présente sous cette étiquette, si c'est un choix ou un impératif...
Mais comment définir précisément l'engagement dans la création qui se veut émancipée ? Qu'est-ce qui fait véritablement de quelqu'un un artiste engagé, entre ce qui inspire la création et ce que la création inspirera à son tour ?
J'ai choisi de commencer par l'art pour l'art. Et j'ai composé le texte d'un seul élan, pour ressentir ce qui me retenait, ce qui me tient à coeur, ce à quoi je tiens pour ne pas me lancer dans le vide à partir d'un vide mais pour retourner en moi, en souvenir de tout...c'est ça l'engagement.
Merci Tristan pour cette invitation et pour ton regard aiguisé et vivifiant. Tout le procesus a été trippant. Belle rencontre.
Merci aussi à Mélikah Abdelmoumen et à toute la famille de Lettres Québécoises.
Encore une rencontre extraordinaire, remplie de vérité et de sensibilité, pour laquelle je suis profondément reconnaissante.
Olivier, Rachel…wow. Rigueur, puissance et passion…
On discute du Hip Hop, de la place des femmes, de l’identité, de la langue, de la jeunesse, de l’Afrique… Bref, on plonge dans toute une vie dans ce balado !
Merci Olivier Arbour-Masse, à Rachel Del Fante, à Mathieu Waddell et à toute l’équipe de la superbe émission « RAD » sur les ondes de Ohdio sur Radio-Canada.
Pour ceux qui préfèrent écouter seulement l'audio, je vous le mets ici :
Bonne écoute et beaucoup d’amour à tous.
L'entrevue est sortie.
Écoutez-la puis repassez-vous le couplet ! ;) ❤️
Merci à tous ceux qui m'ont écrit. Merci pour votre écoute...
Wahlee, Shabb, on est ensemble. 🙏🏽
Quand Wahlee m’a demandé : « J, down pour un Barz Up ? »
J’ai répondu : « Absolument. Seule condition ? Let's go all the way up. »
Et j’ai juste snap… Combien de bars ? J’compte même plus.
Et tu m’dis que c’est Shabbo qui fournit la monture ?
Je travaille en ce moment sur l’archivage et l’exactitude du récit de l’histoire du Hip Hop québécois.
Aujourd'hui, le Rap s'exprime à tous les niveaux, dans tous les milieux, à tous les temps et s’impose dans tout ce qu’il est et tout ce qu’il est appelé à devenir, de son plus vulgaire à son plus sublime, de son plus cru à son plus sage. Altitude.
Commençons par la parole…
🔥à Volonté… J'ai appuyé sur play, bien chita j’suis partie au galop jusqu'à ce que le beat freine.
Le verbe dans sa chair.
Et comme la vraie hauteur honore sa profondeur, let’s get real deep.
D'un seul trait, parlons à plusieurs niveaux. Bars...
J’étends mon lègue. Prenez votre temps. #Intensité
Wahlee, Julian, toute l’équipe Barz Up, Mike Shab, merci les gars. Merci pour le feu et la lumière. Much love. Je vous suis, vous êtes le futur et le futur ne se passe qu’en absolue présence. L’intemporel. On monte la barre…
Je ne connaissais pas cette émission. J'ai adoré la rencontre. ♡
Merci pour l'ambiance, le respect, la préparation, les dynamiques du sérieux dans la légèreté et la versatilité. Gros fun.
M.Bla, on se revoit quand vous le souhaitez, avec grand plaisir, pour la suite de cet échange à la fois rigoureux et décontracté. Merci pour ce moment insoupçonné.
Écoutez l'émission
Photo: François Ozan - ICÔNE dans Le Devoir
Je savais, en acceptant la proposition de Webster et du Musée de la civilisation de faire partie du comité scientifique qui collabore sur ce projet, que c'en était un très important qui allait parler fort et marquer pour longtemps. Mais jamais je ne me serais attendu à être autant bouleversée en entrant dans l'enceinte de l'expo par le poids de l'histoire qui y est racontée.
Quel cadeau, quel honeur.
Et quel privilège d'avoir comme métier d'écrire cette histoire, de la faire vivre, de la partager, de la transmettre.
I'm blessed... Vivre est mon métier.
Donc en tant que conseillère scientifique, narratrice et initiatrice de la culture Hip Hop québécoise francophone, je vous présente moi aussi l'exposition « Sur paroles. Le son du rap queb » qui remonte l'histoire du Hip Hop québécois jusqu'à ses débuts pour revenir à aujourd'hui. Quiconque s'intéresse à ce mouvement ou à l'universalité de la culture québécoise dans son ensemble, doit absolument voir cette expo.
Merci à toute l'équipe du Musée de la civilisation pour cet engagement, pour l'âme et le détail imprégnés dans cette oeuvre éloquente, riche, féconde comme cette culture qu'elle présente enfin.
Merci à tous les acteurs, précurseurs et créateurs de la scène et du mouvement.
Et merci primordial à Webster, avec qui je travaillerais sous n'importe quel dessein tant je sais que l'intention entre nous est la même. On est ensemble...
Je vous laisse écouter les développements de ce que je résume ici pour mieux comprendre :
Écouter l'introduction juste avant que je ne vois le résultat final de l'expo dans ma chronique Subpoena à Il restera toujours la culture : https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/il-restera-toujours-culture/episodes/786208/rattrapage-lundi-6-novembre-2023
Lire ce que j'ai ressenti à l'ouverture de l'expo, dans Le Devoir : https://www.ledevoir.com/culture/musique/801707/musique-rap-queb-marge-musee
Écouter en profondeur ce que ça signifie pour moi à «C'est encore mieux l'après-midi» à Radio-Canada Québec : https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/c-est-encore-mieux-l-apres-midi/segments/entrevue/461664/jenny-salgado-j-kyll-rap-queb
Tout d'abord, merci à Racoon et à Loud (Qui font partie de mes artistes québécois préférés.)
Choix bien réfléchi - mais très évident quand même - donc respectueux de la part de l'équipe de prod.
Pour honorer les 50 ans du Hip Hop, l'ADISQ aurait pu choisir n'importe quel rappeur qui buzz en ce moment, chacun pour ses propres raisons. Ils auraient pu avoir l'embarras du choix, ils sont nombreux. La popularité et la pertinence de la culture Hip Hop sont à un point éminent en ce moment.
Cependant, pour représenter cette pertinence dans toute son historique, son devenir et sa raison d'être, dans toute sa longévité aussi, l'anthologie n'aurait pas pu être plus juste.
Donc merci à Racoon et à Loud de prendre le flambeau avec autant de sincérité et de fidèlité, autant de substance et de talent pour la porter.
*Et yo, belle rencontre familiale dans les loges les boys. Et merci de m'avoir laissé la place pour me changer ;)
Gentlemen...
Maintenant, merci à l'ADISQ (remerciements premiers à Julie Gariepy) pour avoir monté ce numéro avec autant de considérations, d'authenticité et de rectitude.
Clôturer le show au nom de l'histoire du Hip Hop québécois, au nom des précurseurs de ce mouvement, de la perpétuation de cette culture, c'est très représentatif de qui nous sommes, de notre jeunesse, de nos quartiers, de nos réalités quotidiennes, de notre universalité, de notre charisme, du Québec d'aujourd'hui...
C'est une fierté pour moi et pour tous les membres de Muzion.
Mieux vaut tard...que sans comprendre pourquoi.
Passons de 🔥 à Volonté !!!
Beaucoup d'amour et à la prochaine...
Tellement de matière à présenter en 7 minutes !
Je vais faire quelque chose que je choisirai de faire rarement désormais : proposer une oeuvre non pas pour son esthétique artistique et pour sa beauté d'abord et après tout mais bien pour sa raison d'être et son intention de départ.
Je tiens à le mentionner parce que je trouve que la première et peut-être la pire des censures faites aujourd'hui par l'art et à l'art, c'est celle de la beauté.
On est à cette époque où les artistes se font braquer à bout portant avec un spot light qui les oblige à exposer d'emblée et souvent uniquement la cause que leurs oeuvres défendent avant de pouvoir parler de l'esthétique de celles-ci, des outils utilisés, de la forme, des fondements, de l'expérience que l'oeuvre propose. L'art pour l'art !
Si la cause que tu adresses enflamme les passions de toutes parts et que ça donne un bon show, let's go.
Si tu ne présentes aucune autre cause que l'ajout de la beauté, ou à la beauté, la lumière s'éteint et on passe à un autre sujet.
C'est pourquoi j'accepte à chaque fois, presque systématiquement, l'invitation à l'émission d'Émilie. Elle met d'abord l'accent sur l'art en soi et en nous tous.
Toujours au sein de cette même époque, celle qui est aussi clairement transitionnelle, celle où on est précisément sur cette frontière où on peut être témoins de l'évaporation des vérités et des faits - même historiques, même scientifiques, même vécus et confirmés - on comprend certainement que de l'autre côté qui nous attend, l'effacement sera complété et l'accès à toute évidence factuelle sera impossible. La frontière elle-même aura disparue...
Face à ce précipice, s'il en est un, qu'est-ce qu'on fait ?
Comme si de rien n'était ou on s'en parle ?
Cette extrème censure, est-ce qu'on la désire ? Elle a commencée comment et jusqu'où ira-t-elle ? Doit on intervenir ? Et de quelle façon ???
Si la fable de Tania de Montaigne n'est pas la plus enivrante et essentielle par ses mots ou sa poésie ou sa beauté, elle l'est certainement tout de même par sa forme et son propos.
Déjà, la fable, cette forme qui m'a introduite à la littérature, est la monture parfaite pour exemplifier une théorie en faisant poindre une multitude de réflexions par un simple modèle d'expérience, de vécu, même fictif ou symbolique. Là on se met dans les souliers du perso, là on le ressent, là on commence à comprendre par identification...
Ensuite, innocemment se déplacer du rire complice avec le protagoniste vers le détachement troublé et inquisiteur, c'est juste parfait. C'est exactement là où l'auteur te veut. Dans ce discernement où on devrait toujours se retrouver d'abord, avant de discuter, avant de débattre et bien avant de prendre position.
J'en ai déjà trop dit sur l'oeuvre. Je vous laisse la découvrir par vous-mêmes.
Tania de Montaigne est brillante et extrèmement prolifique, sous tellement de formes artistiques différentes. Je vous suggère de la rechercher elle d'abord. Elle a beaucoup de choses importantes à dire et à ajouter à nos introspections.
Son essai, Sensibilité, disponible chez Grasset ici au Québec dès le 11 novembre, est son ouvrage le plus récent et la réflexion qui en découle est impérative collectivement et individuellement.
Écoutez la chronique ICI
Je tiens à saluer et remercier profondément Webster pour cette intuition, cette initiative et ce partage hautement réussi.
Merci aussi à Dimitry et à tout l'orchestre symphonique de Québec pour l'harmonie. Ce n'est qu'un prélude !
Il est l'heure que les grands boulevards se rencontrent !
On est à l'époque de l'histoire où la priorité, pour ceux qui sont appelés à le faire et à trnasmettre aux suivants, est de s'assurer que les archives et que la suite des événements soient racontées avec justice, justesse et vérité.
Y'a que le retour aux sources qui évitera l'épuisement et le tarissement.
Le Hip Hop est la culture la plus manifeste sur la planète aujourd'hui. Dans le monde francophone, le Hip Hop québécois est très estimé, unique et pèse très lourd autant dans la forme (sa langue, sa musicalité, ses sonorités) que dans le fond (ses origines, ses étalages, ses quartiers) que dans les raisons d'être (avant l'entertainment, l'existentiel).
À partir du moment où le mouvement a marié le commerce, plusieurs acteurs de cette culture ont dû porter l'identitaire et les révolutions nécessaires pour le préserver et lui permettre d'évoluer.
Merci à ceux-ci pour l'authenticité. Bravo pour l'audace. Et one love à vous tous.
J’ai reçu hier, à ma grande surprise et ma grande fierté, le Prix Karim-Ouellet remis par la Fondation SPACQ. Quelle soirée mémorable, quel accueil chaleureux !
J’ai rencontré là-bas des gens d’affaires et de coeur sincères et engagés en tous sens et en tous lieux. Croyez-moi, l’Art n’est pas mort…Merci beaucoup la famille.
Je tiens à remercier toute l’équipe de la SPACQ et tous les responsables, de près ou de loin, de ma réception comme de mon mérite de ce prix ;
À tous ceux que j’ai rencontrés hier, ce fut un plaisir (Anne, Arianne, Steve, Judith, Sylvie…cheers et merci ! ).
Révérence particulière à Mme Diane Juster. Quel honneur, venant de vous. Ça élève la portée de cet hommage vers les profondeurs manifestes.
Shirley Théroux ;) vous êtes mon bonus de la soirée. Merci pour l’inspiration et l’écoute.
Merci à tous ceux qui me connaissent mieux que quiconque depuis toujours, les fans qui m’offrent leur écoute quasi inconditionnelle qui honore cette réciprocité et ce partage qui nous lient.
Karim, merci à toi, vrai et grand artiste. Car c’est ce que tu incarnes encore et à jamais…
Merci à ma famille pour l’amour réel et infini.
À tous ceux qui se reconnaissent en moi, célébrons-nous ! Réécrivons notre histoire ! Ouvrons encore plus grand le monde !
Merci primordial à Imposs, collaborateur sur chaque chemin contemplé, sans qui je ne ferais carrément pas partie de ce monde du spectacle aujourd’hui. All the way frérot…
Félicitations à tous les récipiendaires et que la célébration continue !